Quentin
Histoire : Tout commença pour lui au centre de l’univers, en tant que bras droit de Dieu. Celui-ci lui dit un jour, qu’il voulait s’amuser. Il lui parla longuement les instants qu’il avait passé à contempler les mortels. Bien que dégouté d’apprendre cela, il ne pouvait rien dire car c’était à Dieu qu’il faisait face. N’étant pas au même niveau que ce dernier, il avait une grande estime de cet être supérieur. Mais un jour, funeste jour, Dieu décida de le bannir du paradis tout un tas de ses anges, Quentin se croyait immuniser pourtant il fit partit des premiers à être choisis. Juste avant de le laisser partir, le tout puissant lui adressa un clin d’œil, c’est à ce moment là que commença le jeu.
Quentin n’étais pas intéressé par la chasse à l’âme comme tous ses compares, non, il était passif à l’action. Il errait sur la Terre en refoulant toute la colère qu’il avait en lui, les lames ne coulaient pas de ces yeux, ils n’avaient aucune expression, il n’avait plus d’âme… Plongé dans une sombre léthargie il éprouva l’envie de se réveiller, l’envie de se venger, l’envie de s’offrir une nouvelle vie. Il était maintenant devenu le tout puissant sur Terre, alors il ne se priva pas pour utiliser son pouvoir. Le temps et les années passèrent, lui ne vieillissait pas, il ne changeait pas. Des gens autour de lui mourrait, de vieillesse, de maladies, pendant la seconde GM, ou se suicidaient, et lui il était immortel. Il possédait le pouvoir que chaque mortel désirait.
Tout ce sang. A force d’en voir il était certainement devenu fou. Il se mit à lui répondre comme les nuages répondaient à la pluie sur la Terre. Et pourtant même si cela l’amusait profondément, il souffrait. Et la souffrance le faisait rire. Rire de joie, rire de désespoir, rire de tristesse, rire diabolique, et rire de lamentation. Sa vie n’avait pas de sens, mais pouvait-n réellement appeler ça… une vie ? Ceux qui mourraient souhaitaient plus que tout l’immortalité, et lui pourtant qu’il les voyait mourir tous les jours, souhaitait partir avec eux. Le grand canyon, et s’y était jeté une fois. Il est tombé sur un rocher, et transpercé de toute part, il n’en mourut pas. Et c’est blessé qu’il continua sa route vers l’horizon inconnu. Il allait partout et nulle part à la fois. Il s’en allait revenait, restait, mais n’avait pas d’attache. Sa longue marche à finit par le conduire au Japon, à Tokyo. Il a enfin fini pas s’écrouler, croyant terminer ses souffrances, il soupira de soulagement, mais un homme est venu, la trouvé, l’a ramené chez lui. Des mafieux semblait-il. Il ne s’était pas attaché à ses personnes, les Di Aidan, mais il était resté là-bas avec eux.
Peu à peu sa démence s’estompait, laissant place à un conflit intérieur qu’il le faisait souffrir bien plus encore. Mais que pouvait-il faire maintenant, jouer au même petit jeu que Dieu ? Pourquoi pas, l’idée était séduisante. C’est alors que commença sa partie d’échec avec Dieu, ou tout du moins, ce que vous appelez Kagami Game.
Caractère : Psychopathe incontrôlable. Il a peur de lui-même et de ses réactions imprévisibles. Il tremble et jouît à la fois de son instabilité mentale. Il peut être calme et l’instant suivant énervé. C’est une personne qui souffre constamment de son passé, si bien qu’il n’envisage plus le futur, d’après ce qu’il dit. Pourtant il se bat pour ses idées, et faire de son présent une vie plus supportable, il souhaite se venger, et c’est la seule chose qu’il l’obsède et qu’il l’aide à avancer. [A développer]
Physique : L’un de ses yeux est manquant, concernant l’autre, il est rouge comme le sang. Ses cheveux sont de couleurs de l’ébène et peau pâle comme la neige. Il n’st pas plus grand qu’un autre et pourtant il est imposant. Il a un physique qui force le respect. Couvert d’ici et là de nombreuses blessures, son corps semble indestructible. [A développer]
Pouvoirs : Création des illusions. Il a une capacité de réaction concernant les attaques magiques. Il peut changer d’arme à volonté.
A savoir: Il fait partit de la première génération de démon. Soit des Screaku.
Idées : Akimitsu Di Aidan
Rédaction : Nadeshiko Di Aidan.